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12e récit - 15 janvier - Antigua et Barbuda


Ce matin, nous accostons à St-John’s, capitale de Antigua et Barbuda, deux îles distinctes. Nous sommes quatre navires de croisière, c’est impressionnant.  Il faut beau et chaud, soleil, nuages.  Une visite des parcs nationaux était organisée, nous nous sommes divisés en deux groupes : un groupe à 8 h 30 et un deuxième à 12 h 30.


Au XVIIIe siècle, English Harbour, sur la côte sud d’Antigua, abrita une part importante de la flotte britannique, sous le commandement, un temps, de l’Amiral Nelson.  Ce site bien encaissé et à peine visible du large, était connu comme étant un « trou à cyclone », un abri sûr.  À cet endroit, nous avons vu d’anciennes fortifications, témoin du passage des soldats britanniques.  Nous avons vu une ressemblance avec les fortifications de la ville de Québec.


Le pays est constitué d’un archipel dont Antigua est la plus grande île, et la plus peuplée : 72 000 dont 24 000 vivent dans la capitale de St-John’s. Barbuda, juste au nord d’Antigua, est l’autre île principale (sa jumelle).  Les îles ont un climat chaud et tropical.  Le tourisme représente plus 50% du PIB national.  La production agricole est pour l’essentiel réalisée dans les deux îles principales.  Elle est principalement destinée au marché intérieur.  Le manque d’eau et de main d’œuvre – qui préfère travailler dans le tourisme et la construction, car les salaires sont plus élevés dans ces deux secteurs – limite le développement de l’agriculture.  Bien que la canne à sucre ait longtemps été cultivée, ce n’est plus le cas maintenant.  On y voit quelques rares plants ici et là.  Par contre, l’ananas, la banane (5 variétés) et l’avocat sont largement cultivés.  Nous y avons appris qu’un ananatier produit en 18 mois un fruit : l’ananas.  De plus, le fruit sera plus sucré dû à une période de sécheresse.  De plus, le coton cultivé sur l’île est exclusivement vendu au Japon, tout comme à Ste-Lucie!


La langue principale est l’anglais.  Le gouvernement local, conscient du fort potentiel touristique, fait de gros efforts, visibles, concernant la propreté des rues et de l’environnement.  Cette île est la plus propre que nous ayons visité lors de notre croisière. 

Nous avons tous bien apprécié notre sortie.  Retour sur le navire et nous larguons les amarres à 17 heures.


C’était notre dernière escale sur les îles.  Nous entamons notre retour vers New York.


Merci de nous lire.


Tourloup :)


Capitaine et Renée

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