Vendredi, 9 mai 2014
Notre dernière journée en sol portugais nous a conduits tout d’abord à la place de taureau, où ici, cet animal n’est pas mis à mort sur la scène contrairement à l’Espagne, puis un arrêt au belvédère du parc Edouardo VII pour contempler le panorama sur Lisbonne. Par la suite, nous nous sommes dirigés vers la cathédrale de Lisbonne pour notre visite à pied. Ici, on nous a raconté l’histoire de l’aristocrate Fernando de Bulhões, né à Lisbonne en 1195, celui même qui, par la suite, fut nommé Saint-Antoine, et qui mourut à Padoue, en Italie, à l’âge de 39 ans. L’ascension au château de Saint-George nous a permis de voir une ancienne excavation et vestige de l’époque romaine. Une vue magnifique, qui embrasse toute la ville, les côtes voisines du Tage et même l’océan Atlantique, apparut devant nous comme une scène de film. Ici, on nous avait préparé un apéro avant de redescendre vers la Place du Commerce, là où nous attendait notre lunch sur une terrasse. Après-midi de repos et de dernières, dernières découvertes, pour que chacun puisse faire sa valise. En soirée, nous nous sommes dirigés vers notre restaurant, où un cocktail nous attendait avant de passer au restaurant principal. À notre arrivée au restaurant, plusieurs disaient comment c’était beau et élégant, et voilà qu’on nous montre notre table impériale située face à la Baixa et au quartier Alfama … spectaculaire. Tout vitré, et portes ouvertes, nous étions comme sur une immense terrasse suspendue au-dessus de ces quartiers, comme un nid. Mais quelle vue!!!!! Et un repas bien équilibré, sain, afin que notre courte nuit se passe bien. Retour à l’hôtel vers 22h00. Réveil à 3h00, puis départ à 3h45 en direction de l’aéroport de Lisbonne. Comme guide accompagnant, avoir vu autant de sourires et de gens heureux, c’est la récompense pour notre travail, car à la fin, c’est vraiment ce qui importe : offrir un rêve et du bonheur.
À très bientôt chers amis et voyageurs, ce fut un énorme plaisir de vous accueillir dans mon deuxième pays d’adoption. Au plaisir de vous revoir très bientôt.
Patrick Simard