Bonjour à tous!
Au reveil ce matin il faisait 12°, le temps était nuageux, pour atteindre 17°C en après-midi. À l’unanimité, on admet que l’hôtel est à la hauteur de nos attentes : chic, confortable et bien situé. Pas de problème pour y rester quelques semaines.
Notre système s’adapte à l’heure de l’Europe (6 heures de plus que chez nous). Après une bonne nuit de sommeil qui, il faut le dire, était bien méritée, nous sommes tous au rendez-vous à la salle à manger pour un copieux petit-déjeuner.
Ensuite, départ en direction de notre premier train à crémaillère. C’est spécial, on n’a vraiment pas l’habitude de prendre ce genre de train, il faut le voir! Nous passons par le Kleine Scheidegg, au pied des pentes, côté nord du célèbre mont Eiger. C’est une station de transfert pour nous rendre au Jungfraujoch que nous atteignons avec un deuxième train. Nous sommes à 3 454 mètres (11 332 pieds) d’altitude, cette station de chemin de fer est la plus haute d’Europe.
Je dois vous avouer que nous sommes habitués un peu au départ des avions qui sont plus ou moins à l’heure mais ici, en Suisse, ne vous trompez pas il n’y a pas une demi seconde de différence si c’est 8 h 02, c’est vraiment 8 h 02. Impressionnant! Merci aux voyageurs d’être à l’heure.
À ce fameux sommet, le Top of Europe, nous avons visité le champ de glace en passant par le tunnel construit à l’intérieur du glacier. Nous avons, eh oui, marché dans la neige et sommes allés à l’observatoire extérieur. Je dois vous avouer que nous étions vraiment dans les nuages et la visibilité est très réduite à cette altitude. Il y a les monts Eiger (13 026 pieds), Mönch (13 475 pieds) et finalement le Jungfrau (13 642 pieds) pour ne nommer que ceux-là.
Mais tout de même on a eu l’honneur de dîner à cette altitude (11 333 pieds), au restaurant du Jungfraujoch, avec quelques vues entre les nuages, sur des régions alpines et le glacier d’Aletsch, le plus long des Alpes avec ses 22 km.
C’était une destination que les voyageurs attendaient depuis longtemps et tout le monde semble apprécier grandement.
Lors de notre descente, le personnel du train nous a tous remis une petite tablette de chocolat, délicate attention.
En après-midi nous sommes descendus à Lauterbrunnen via la Kleine Scheidegg, col ferroviaire suisse entre l’Eiger et le Lauberhorn dans l’Oberland bernois situé à la frontière des communes de Lauterbrunnen (Wengen) et de Grindelwald, pour continuer vers Interlaken, agréable station touristique située entre deux lacs : Brienz et Thoune. Une courte visite guidée, un peu de temps libre et nous filons en direction de l’hôtel afin de se préparer pour notre souper de groupe.
Pour le souper, rien de moins qu’une spécialité suisse que nous avons savouré dans tous les sens… Vous l’avez deviné, la fameuse raclette était au menu! Dommage que je ne puisse pas vous transmettre l’ambiance qui régnait au repas : on apprend à se connaître, ça va très bien.
Cela termine notre journée bien remplie et appréciée de tous.
Nous avons remarqué que la ville est très propre, l’entretien des rues se fait avec un balai mécanique régulièrement. Toute la région que nous visitons est d’une propreté exemplaire.
Capitaine Georges
Tourlou!
Potin du capitaine
Ma voisine Colette, qui était tout près de moi dans l'autobus, me disait que son audioguide ne fonctionnait pas. Je regarde l'audioguide et il y a de la lumière, les batteries indiquent qu'elles sont pleines et les écouteurs sont bien installés. J'écoute dans ces fameux écouteurs et effectivement, on entendait pas notre guide Claude qui faisait la description des paysages. Perplexe, essayant de trouver le problème, l'autre voisine Diane nous regarde -sérieusement- et nous indique que Claude faisait les descriptions avec le micro de l'autobus et non avec l'émetteur de l'audioguide! Bon il faut dire que je n'ai pas été trop fort sur ce coup là.