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Ce matin, c’est le jour tant attendu.  Départ en autobus de notre hotel à 5h15 pour le tour de montgolfière.

arrêt au casse-croûte sur le chemin pour café et grignotines déjeuner

ensuite on  part pour notre site d’envolée.  On distingue dans la pénombre des formes rondes qui commencent a se dessiner.  L’est l’excitation…

En attendant que notre ballon se gonfle, on peut admirer les autres plus loin qui ont un peu d’avance sur nous dans le processus.  Ils commencent à pousser de l’air dans le ballon pour le former, ensuite on ajoute la chaleur.  Au loin, Quand ils commencent à allumer le feu, les ballons s’illuminent dans la noirceur et c’est très beau.  On monte dans notre nacelle et ensuite, c’est l’envolée.  Notre pilote, Serkan, 17 ans d’expérience, nous fait monter dans le ciel tout doucement.  C’est calme, ciel dégagé, pas de vent….  Que le bruit du feu périodiquement dérange la quiétude du vol.  Bon il va sans dire il y a les wow, wah, t’as vu ca?  C’est magique!   Notre pilote fait tourner le ballon sur lui-même lentement pour que tous aient une belle vue panoramique. Il me dit ne pas avoir de contrôle sur la direction ni sur la vitesse du déplacement, que l’altitude et la rotation.  Admirer le paysage sous nous est particulier mais la vraie magie, est de voir ces 150 ballons dans le ciel avec le lever du soleil, la lumière qui change à chaque instant modifie le paysage.  Serkan descend  son engin dans une vallée, nous faisant voir le paysage d’une toute autre façon.  En vol, Christian nous a ému en effectuant un bel hommage à sa Nathalie.  Finalement, après le lever du soleil, un doit se poser.  Serkan nous montre son savoir faire en déposant sa nacelle tout doucement, directement dans sa remorque.  Pourquoi forcer quand on peut faire ça simple!  Descendre de la nacelle démontre un grand éventail de grâce d'une personne à l'autre.  La vedette, Bruno, descend sous les applaudissements de ses amis!  Il s'en est fort bien tiré.  On taiera l'expérience des autres membres de sa belle-famille :)

On peu savourer encore un peu l’expérience avec un petit mimosa, en prenant quelques photos supplémentaires.  Ces photos feront des jaloux c’est certain.

 

Ensuite retour a l’hôtel pour le déjeuner « officiel », puis départ avec Yavuz pour les visites du jour. 

On continue  l’expérience de la Cappadoce  en direction de la vallée de Göreme et de ses églises rupestres.  C’est un site populaire a voire la quantité de visiteurs. 

 Considéré comme un Musée de plein air, dans une vallée pittoresque, il révèle l'héritage d'une intense activité monastique entre les Ve et XIIe siècles : une cinquantaine de sanctuaires y célèbrent la vie du Christ en fresques délicates, sur fond de lapis-lazuli. 

On admire ces églises construites directement dans les montagnes, tirant profit de la roche friable.  Une cinquantaine de sanctuaires y célèbrent la vie du Christ en fresques délicates, sur fond de lapis-lazuli et y voir des installations des moines, en particulier les réfectoires.  Certaines églises étaient nommées selon certaines de leurs caractéristiques.  Il y a eu celle de St-Basile dit Le Grand (ça nous dit quelque chose ça), celle aux sandales, aux serpents, les boucles (d’oreilles).   La vue sur les habitations  troglodytes de la vallée environnante est prenante.

 

Puis, en route vers la vallée de Pasaberg, dite la vallée des Moines, admirer les cheminées de fées, créées par des  millénaires d’érosion.  On a du temps pour la parcourir, admirer ses structures et prendre des photos.  

 

Le dîner se fait  à Çavuşin, dans une ancienne école maintenant site d’une coopérative

visant à promouvoir l’emploi et des salaires équitables pour les femmes.  On visite, en quittant, le centre d’artisanat local. 

Petite marche à travers Çavuşin  vers les ruines troglodytes de son vieux village. Ici aussi, la vue est spectaculaire.

 

On finit l’après-midi en beauté chez Avanos Hali, où on apprend l’ABC du tissage, on y admire les artisanes dont le savoir-faire se transmet de mère en fille.  C’est impressionnant de les voire gérer le fil, faire les noeuds a une vitesse folle, tasser les noeuds et couper le fil avec grande précision.  Les motifs sont à couper le souffle.  Certaines œuvres sont des pièces d'art mural. On apprend la confection d’un fil de soie utilisé pour faire certains tapis de sol ou muraux, puis c’est le cours « tapis 101 » des différent types de tapis qui font la réputation internationale de la Turquie. C’est l’exposé de divers tapis,  ils en ont seulement 25000 en inventaire!  Puis… les achats.  Eh oui ils on ont vendu.

 

De retour à l’hôtel et on se prépare pour le souper.  Ce soir, on aura droit à un souper spectacle de danse à saveur locale et régionale, avec prestation de danse du ventre et une touche pour rappeler l’héritage local des Deviches Tourneurs.  Il était amusant de voir les locaux danser au son de la musique locale entre les prestations des artistes.  Nous, on est bon dans les danses carrées, eux le font en rond.  intéressant…. Pauline la courageuse a été se mêler au groupe, au plaisir de nos voisins de table Argentins avec qui elle s’est mêlé.   Mais trop peu trop tard, on devait partir.  On lui a coupé son fun.  Désolé.

Martin & Sylvie

 

 

 

 

 

 

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