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Bonjour aux familles et amis de mes voyageurs,

Encore un magnifique réveil à La Nouvelle-Orléans où il fait toujours beau et frais. Bonne Saint-Valentin à tous les amoureux et bonne chance à celles et ceux qui souhaitent tomber en amour cette année!

Aujourd’hui au programme, nous avons une exploration des bayous et des marécages en hydroglisseurs et ensuite un beau grand tour de ville en bus.

Notre fantastique, charmante et passionnante guide, Gisele, nous attendait en compagnie de notre chauffeur Darryl afin de partir à huit heures pile. Tout mon groupe était de bonne humeur, en forme et à l’heure, même avec un petit restant de toast au bord des lèvres.

Notre bus nous conduit sur place, où deux « flat boat » sont mis à notre disposition, soit deux bateaux à fond plat de douze places conduits par deux capitaines rompus à la navigation dans les marécages. Je peux vous dire que les moteurs vrombissaient comme si nous étions sur la piste de course de Sanair dans le bon vieux temps, nos oreilles en ont vibré un bon coup. Pour comprendre l’origine du mot « bayou » rien de mieux qu’un coup d’œil sur Wikipédia : En Louisiane, un bayou (du choctaw bayuk signifiant « serpent, sinuosité ») est une étendue deau formée par les anciens bras et méandres du MississippiLes bayous sétendent sur tout le sud de lÉtat de Louisiane, formant un réseau navigable de milliers de kilomètres. 

Jajoute que les bayous sont habités par une faune des plus colorées, nous avons pénétré dans un véritable zoo à ciel ouvert. Nous avons donc navigué à travers les branches à la recherche d’oiseaux de toutes sortes, d’alligators et autres animaux exotiques pour nous. Comme il fait frais, notre guide nous apprend que les alligators sont plus endormis, car ils se pensent encore en saison d’hibernation.

Nous sommes d’abord impressionnés par les nuées d’oiseaux et,grâce aux connaissances de notre guide, nous pouvons observer des ibis, des aigrettes blanches, de grandes aigrettes, un beau héron, des gallinules d’Amérique, des flamants des Caraïbes ainsi que des pygargues à têtes blanches. Wow! Les amateurs sont comblés et on multiplie les photos tout en étant conscients que rien ne vaut un téléobjectif pour donner un beau rendu. Qu’à cela ne tienne, on emmagasine de belles prises de vue de cette faune ailée. 

Nous voyons par la suite des capybaras communément appelés cochons d’inde d’eau; c’est une espèce de rongeur, en fait, ce sont les gros rongeurs qui soit, l’adulte mesure plus d’un mètre et pèse plus de 50 kilos, oui madame, un peu gros comme animal domestique, n’est-ce pas? Mais où sont donc passés les alligators? Ah! Enfin, nous arrivons à notre alligator fétiche surnommé Moddy! Il nous attendait patiemment et placidement. Pour notre bateau, ce sera malheureusement le seul qui nous aura fait l’honneur de se manifester; quant à notre autre groupe de voyageurs, ils ont pu voir et croiser une mère alligator. Les voyageurs étaient heureux de cette rare visite. Pour ma part, comme vous savez que je ne suis pas menteur et que je n’exagère presque jamais rien, je peux confirmer que j’ai vu au moins 41 alligators probablement géants, comprenez que je ne pouvais pas toujours demander au capitaine d’arrêter, nous y aurions passé la journée ou presque. Je vous entends : wow, wow, wow capitaine et lorsque vous regarderez les photos, vous serez confondus quand vous me verrez placer ma tête entière dans la gueule d’Al, l’alligator géant!

Après toutes ces émotions, nous partons en bus faire la visite de la ville même de La Nouvelle-Orléans, avec Gisèle. Elle nous fait voir que c’est bien plus que Bourbon Street ou même le quartier français; c’est une ville composée de quartiers fièrement distincts, avec leur histoire, leurs cultures au pluriel, car Dieu sait qu’elles sont multiples et complexes, chacune avec ses propres activités folkloriques ou muséales. Nous en avons aussi profité pour parler de l’horrible ouragan Katrina qui avait dévasté la ville en 2005. J’ai placé des photos montrant la démarcation de l’eau sur une maison et sur un panneau routier, ouf! Facile de comprendre que cet événement a marqué les cœurs et les esprits à tout jamais. Après cet instructif tour de ville de près de trois heures, un arrêt s’imposait au Café du monde afin de déguster un bon café et quelques pâtisseries.

Merci, merci, merci, Gisele et Darryl! 

Nous voilà de retour au navire la tête remplie de souvenirs et le cou paré de colliers de toutes sortes pour nous rappeler les beaux moments passés à La Nouvelle-Orléans. Nous quittons cette éblouissante ville à 15 h, ça donne le temps aux gens de se préparer pour la soirée à venir, vu que ce soir, c’est Voyage Louise Drouin qui invite… au restaurant Petit Chef!

Nous y avons eu beaucoup de plaisirs gustatifs, olfactifs et humanistes ou sociaux. Ce souper surprise permet aux gens non seulement de bien manger, mais aussi de se connaitre un peu mieux et de créer des liens qui perdureront au-delà de la croisière. Le spectacle du Petit Chef fut une réussite, nous avons même eu le temps de porter un toast, je dirais même plusieurs, avant notre souper.

Tout le groupe tient d’ailleurs à remercier Louise Drouin pour cette douce attention à l’égard de ses clients. Merci, merci, merci Voyage Louise Drouin!

C’est vraiment incroyable le bon temps que nous avons tous ensemble, Wow! Il y a vraiment une chimie incroyable entre nous. Comme je le dis souvent : faites-vous plaisir, vous avez droit au bonheur!

Bon, il est maintenant grand temps pour moi d’aller au lit et je n’ose même pas vous dire à quelle heure tant ma nuit risque d’être courte, car c’est aux aurores que je prends un moment pour bâtir mes récits.

Bonne nuit et à bientôt.

Pierre Diamond

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