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Bonjour à tous,

On se lève avec, en tête, les images de la veille, ravis. Dix-sept beaux degrés à 8 heures ce matin, pluie fine, ça se dégage plus tard. 22° en après-midi.

Pour l’instant, la ville de Salzbourg nous attend.  Comme nous passons encore deux nuits ici, nous partons légers c’est-à-dire sans nos valises.  Ça fait du bien de pouvoir se lever tard. 

Le petit-déjeuner est excellent, nos repas sont assez copieux pour nous permettre de se rendre jusqu’au prochain.  Nos amis voyageurs se connaissent bien maintenant, on est bien soudés.  On aime les liens d’amitié qui se développent, ce sera pour la vie.  Certaines et certains se sont découvert des connaissances communes et d’autres se sont retrouvés après des années.

Nous partons à 9 h 15 pour rejoindre un guide local, du nom de Erhard Wagner, qui nous fait un tour pédestre de la ville de près de 150 000 habitants.  Elle est la 4e ville la plus peuplée du Tyrol.  Il y a 40 églises dans la vieille ville dominée par la forteresse, au sommet de la montagne Festungsberg, qui fut bâtie en 1077 par l’archevêque Gebhard.  Elle est le plus grand château fort en parfait état de conservation d’Europe Centrale.  Évidemment nous ne pouvons passer sous silence notre visite de la maison natale de Mozart, avec ses petites pièces plutôt sombres et humides.  Il est impressionnant de voir la façon dont ils vivaient à l’époque, ici.  Ça nous porte à réfléchir et apprécier ce que l’on a, au Québec.

La ville est reconnue mondialement pour son festival de musique classique et pour les différents sites où on a tourné des scènes du célèbre film « La mélodie du Bonheur ».  Elle est également connue pour être inscrite sur la liste du patrimoine de l’UNESCO. 

Nous avons visité la cathédrale Saint-Rupert, de style baroque.  C’est dans cette cathédrale qu’a été baptisé Mozart. Passage par le jardin Mirabell, construit pour le grand amour d’un prince-archevêque en 1606 (Mozart y donna des concerts) et quelques autres endroits que le guide nous fait visiter en nous transmettant, avec les audioguides, son savoir. Un circuit bien organisé. Merci Erhard

Le déjeuner (dîner)et l’après-midi libre nous fait apprécier notre Salzbourg.  Certains en ont profité pour se reposer à l’hôtel.

Ce soir, un souper qui sort de l’ordinaire : le Mozart Dinner Concert fait salle comble depuis 1996.  Un repas somptueux servi en trois temps, entrecoupé de musique et d’airs d’opéra par des musiciens et chanteurs de talent.  Salzbourg bat le rythme au son de Mozart.  Ce fut un spectacle magique dans un décor enchanteur.  Ça chante encore dans nos têtes!

Nous avons eu une petite pensée aujourd’hui pour Louise Drouin puisque c’est son anniversaire. Bonne fête Louise, on pense à toi et on apprécie les efforts que tu fais pour si bien orchestrer nos voyages…  On sait que tu travailles très fort!

Merci de nous lire, tourlou

Capitaine Georges 

Potins du capitaine

Bon, voici la vérité concernant ce qui s’est passé ce soir : lorsque nous avons quitté l’hôtel avec l’autobus, pour se rendre à notre souper de Mozart situé dans le vieux Salzbourg, la température était nuageuse et je remarque que mes voyageurs embarquent dans l’autobus sans imperméable, ni parapluie. Je me suis dit : « La météo n’annonce pas de pluie, il n’a pas plu de l’après-midi et que quelques gouttes ce matin, il ne devrait pas pleuvoir ce soir! » Les prévisions étaient erronées!

Rendu à mi-chemin avec l’autobus voilà que nous sommes bloqués par le trafic. Il y avait un marathon d’une grande importance se déplaçant directement vers notre restaurant.

Voyant que nous étions pour avoir du retard, nous sommes débarqués de l’autobus, sachant que ce serait plus long à pied mais plus rapide que l’autobus. Et voilà le grand départ.

On attend pour laisser passer les marathoniens, les uns derrière les autres, et nous voici rendus en plein centre du marathon. Des marathoniens partout qui passaient devant et derrière nous !!! Les agents de sécurité nous regardaient d’un air furtif.

Et voici que quelques gouttes de pluie commencent à tomber, je me suis dit : « Ça va passer », 30 secondes plus tard, il pleut. Je sors mon parapluie, mais pas assez vite, avant le déluge. Je me suis dit : « Je vais sortir mon imperméable » mais, en sortant mon imperméable mon parapluie se vide.

Je vous rappelle que mes voyageurs n’avaient ni parapluie, ni imperméable. Mes voyageuses, quant à elles, étaient en talons hauts, maquillées et bien coiffées.

 Je sentais qu’il y avait de l’humidité dans mes chaussures pour réaliser que nous marchions là où s’écoulait l’eau de la rue.

Mes voyageurs se protégeaient en mettant leur manteau au-dessus de leur tête. Finalement, nous nous sommes rendus à notre opéra de Mozart, trempés. Certains riaient, d’autres étaient déçu de la température mais c’est là qu’on voit les vrais voyageurs car aucun d’eux n’a critiqué, d’une façon négative, sachant que ces choses-là peuvent arriver.

J’ai avec moi la crème des voyageurs. Vous êtes génial.

Félicitations à notre guide, Claude, d’avoir géré la situation.

 

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