Ce matin nous sommes partis plus tôt que prévu. En effet, dû à un bris mécanique du traversier qui nous était assigné, de la compagnie BC Ferries, nous avons pris un autre traversier. Ce qui explique le changement d’heure du départ!
Les membres du groupe sont tous sourires! C’est plaisant de voir ces gens de bonne humeur se remémorer les détails de la veille. Quelques consignes et on est fin prêt pour la suite de l’aventure, direction Vancouver.
Je voudrais apporter toute suite une précision, ne pas confondre la ville de Vancouver, qui se situe sur le continent et l’île de Vancouver, qui est une vraie île sur laquelle est située la capitale de la Colombie Britannique : Victoria. L’île est habitée par plus de 750 000 personnes, elle est à peine plus grande que la Belgique. L’île est la plus grande de la côte ouest de l’Amérique. Longue de 460 km pour une largeur de 80 km, elle est la 43e plus grande île au monde, la 11e plus grande île du Canada et la seconde île la plus peuplée de ce pays après l’île fluviale de Montréal. La colonie de l’île de Vancouver fut fondée en 1848 et fut rattachée à la colonie de la Colombie Britannique en 1866. L’économie de l’île repose principalement sur la sylviculture, surtout dans le nord. Le tourisme et la pêche tiennent aussi un rôle important.
Arrivés sur l’île, nous prenons la direction de Chemainus dans le district de Cowichan Valley réputée pour sa communauté créative. Charmante petite ville de 4 500 habitants qui a su revitaliser son quartier d’affaires et créer une destination touristique par plus de quarante peintures murales qui encerclent la ville, relatant son histoire. On la surnomme Muraltown.
Continuité vers Victoria que je considère un peu comme la Californie du Canada, c’est l’endroit où la température est la plus clémente de notre pays. Il a fait 25 degrés aujourd’hui, on aime ça.
Arrivée à l’hôtel Grand Pacific à 15 h, quel bel hôtel, y’a pas mieux. On est en plein centre-ville, vue sur la marina, l’hôtel Impress et l’aéroport d’hydravion. On est charmé par la qualité de l’hôtel et sa position stratégique. Un tour d’orientation avant de nous rendre à notre souper de groupe, mais pas n’importe lequel, un souper à des tables de cuisson à la japonaise le tout arrosé d’un apéro, c’est Louise qui paie 😉 merci Louise ce fut très apprécié.
Quelle belle journée que nous avons passé à mieux nous connaître avec une température adéquate.
Les potins du capitaine :
À Chemainus, Louise, surnommée Loulou, assise près de la roue à aubes entourée de fleurs, tenant la pause pour la photo, s’est retrouvée sur le dos les quatre fers en l’air dans le talus écrasant par le fait même les fleurs sous le regard ébahi du jardinier mécontent. Soyez rassurés, elle va très bien!
Merci de nous lire. Tourloup
Capitaine et Renée